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La vérité sur les émeutes raciales en Australie

Monday 19 December 2005     |      International     |      Email    |      Print

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La vérité sur les émeutes raciales en Australie

Un jeune australien lance aux journalistes « nos femmes ont été menacées d’être violées parce qu’elles portent des bikinis. Ces personnes essayent d’arrêter notre façon de vivre. »

5,000 habitants, principalement, des jeunes, du comté de Cronulla au bord des plages de Sydney – on est actuellement là bas en plein période estivale, hémisphère sud oblige - ont décidé de « reprendre la plage » et le week end fut marqué par des scènes d’une rare violence où les « aussies » ont décidé de chasser les « touristes » et autres immigrés musulmans qui chaque année sont plus nombreux sur les côtes.

La colère vient de loin, et est montée doucement.

Ces plages étaient le symbole de l’art de vive australien???!. Jolies filles, surf sur les vagues, veillées et barbecues nocturnes sur les immenses plages de sable blanc où flottaient des airs de rock australien. Presque une image idyllique du paradis.

Mais voilà, depuis ces dernières années, l’immigration musulmane se renforçant, amplifié chaque année par un tourisme venant des pays arabes en constante progression, l’ambiance a progressivement changé. L’insécurité a explosé et les habitants des villages paradisiaques de la côte australienne ont du prendre l’habitude de fermer portes et voitures à clé, où avant chacun se sentait en confiance. Les agressions contre les filles ont augmenté, et au delà c’est une attitude générale vis à vis des australiennes qui s’est imposé.

D’un côté des protestations de touristes ou d’immigrés musulmans contre leur « indécence » - la culture très libérale des Australiennes les a depuis longtemps dévêtu à la brésilienne ! - de l’autre au contraire de jeunes mâles musulmans confondant un peu vite liberté des moeurs et prostitution, et qui croient pouvoir disposer des femmes comme dans une maison close. Les viols se sont notablement multipliés sur des plages australiennes où il y a encore 10 ans on pouvait encore se promener nue sur une plage en pleine nuit au milieu des groupes de jeunes sans risquer autre chose de que tomber amoureux !

Bien sûr il y eut bien parfois des crimes, des viols, des vols, mais chaque fois des actes très isolés et finalement plutôt rares vu la densité de population chaque année sur les plages de Sydney, haut lieu du touriste estival dans l’hémisphère sud.

Depuis 2002 les choses ont bien changé, le terrorisme a frappé Bali, et le tourisme musulman a quitté l’Indonésie pour les plages australiennes,changeant profondément l’ambiance des plages qui sont en Australie, plus qu’un lieu de vacances, une culture ! D’autant que ces dernières années, la communauté musulmane, plutôt discrète et démographiquement faible, s’est nettement radicalisée. Comme en Europe, les musulmans australiens se font revêches à l’intégration, revendiquent des droits particuliers, s’en prennent au mode de vie des australiens, etc.

Mais surtout l’Australie lutte depuis plusieurs années contre un terrorisme bien spécial, “le jihad sexuel“. Les jeunes musulmans ont fait du viol une arme de guerre islamiste. Le principe est simple, violer des australiennes pour répandre le jihad ! Le pays s’est réveillée un matin en trouvant dans la presse le résultat d’une enquête de trois ans menée par une journaliste australienne aujourd’hui menacée par les islamistes.

Le cumul de plusieurs agressions successives de musulmans contre des filles « aussies », dont une tentative de viol, et finalement la semaine dernière un viol, un surfeur agressé, enfin deux secouristes de plage molestés, aura fait déborder la colère des australiens.

Pendant tout le week-end, de SMS en emails sur les bornes wifi des plages, les australiens vont obéir à un mot do’rdre simple et spontané : « reprendre la plage ». Mais c’est surtout le nombre qui a stupéfait les autorités, plus de 5,000 jeunes aussies se ruant sur les plages pour en chasser les musulmans. Plus de peurs que de mal, au plus quelques bonnes raclées bien méritées, et la finalement le départ d’un bon nombre de touristes musulmans sous protection policière. Quelques discours politiquement correct à la télé d’un commissaire de police bien pensant et de politiciens partisans de la dhimmitude, mais peu importe, les plages australiennes sont bien redevenues australiennes depuis ce week-end.

Cette révolte spontanée des « aussies » montre qu’en Australie, où le mois dernier deux ministres n’avaient pas eu peur de dire aux musulmans que « si le mode de vie australien ne leur convenait pas, ils pouvaient partir », la résistance populaire n’est pas un vain mot. Et on ne peut que s’en réjouir, le syndrome français ne dhimmitude n’est pas une fatalité !

Jihad “sexuel” en Australie*

Ils sélectionnent très soigneusement leurs victimes, uniquement des blanches australiennes, de préférence très jeunes et dont la vulnérabilité permet d’imposer un régime de terreur dans lequel elles deviennent les véritables “esclaves sexuelles” de leurs agresseurs. Les viols collectifs sont particulièrement sordides et cruels, ainsi une jeune fille de 15 ans, en août 2000 a été violée 25 fois par 14 garçons, y compris les deux frères Bilal et Mohammed Skaf, pendant 6 heures d’affilée où elle subira les pires violences.

Pendant les viols, là aussi filmés, les coups et les insultes pleuvent, toutes à caractère racistes. Une jeune fille de 17 ans témoignera devant la cours rapportant les propos des violeurs: “tu le mérites parce que t’es austalienne“. Aux insultes ordinaires (”salopes, putains“…) s’ajoutent les injures racistes, “chiennes blanches”, “mécréantes”, “sales chrétiennes”, “décadentes occidentales“…
Le scénario était ensuite toujours le même, les filles étaient immédiatement menacées, forcées de boire de l’alcool jusqu’à l’ivresse puis violées, toujours de manière très violente, les psychiatres soulignant le caractère sadique des viols après visionnages des bandes vidéo que les agresseurs enregistraient et classaient minutieusement.

Ensuite la terreur s’établissait pour que les filles se taisent, et puissent rester “à la disposition” des 5 frères qui pouvaient ainsi les faire revenir pour de nouveau leur faire subir leurs assauts.

L’un des frères avaient trouvé un ‘moyen’ de coercition efficace pour terroriser les filles, ils prétendaient avoir séjourné en Iraq, y avoir violer des filles, les avoir étranglé puis pendu au balcon de leurs propres maisons…

Les associations de gauche, mais aussi des chroniqueurs de droite d’abord soucieux “d’apaiser” les tensions inter-communautaires exacerbées par les attentats du 11 septembre puis ceux de Bali en 2002, “dénoncent” Janet Albrechtsen et le quotidien ‘The Australian” qu’ils accusent “d’amalgames“, de tentative de “criminaliser” l’islam, de semer la “haine raciale“‘.

L’affaire est écrasée par les propos indignés des élites bien pensantes australiennes qui préfèrent ne voir dans ces affaires, que des faits divers à caractère purement sexuel, reléguant leur traitement au rang de viols individuels ou collectifs ordinaires”, certes durement condamnés, mais sans prise en compte d’un contexte politique et religieux pourtant avéré. Tout juste sera-t-il concédé le caractère “misogyne” des criminels

Des preuves accablantes en… Europe

Les auteurs français et danois, Jean Jacques Rassial de l’Université villetaneuse et Flemming Balvig de l’université de Copenhague, iront jusqu’à critiquer la récupération par Janet Albrechtsen de leurs études générales sur le viol en Europe dont les conclusions sont sans appel, et montrent une implication exponentielle des musulmans parmi les auteurs de viols collectifs, auxquels on donnera même un nom “particulier” pour les décrire en France, les “tournantes“.

Les résultats de leurs enquêtes sociologiques, qu’ils peuvent difficilement contester sont claires: au Danemark où les enquêtes de ce type peuvent cerner des profils ethniques et religieux comme éléments d’études statistiques, y compris par la police, contrairement à la France où cela est interdit par la loi, montrent qu’en 2003 pour une proportion de 7,4% de musulmans dans la population totale du Danemark, cette proportion atteint 76,5% des détenus du pays pour crimes sexuels.

Dans l’ensemble de l’Europe, on estime d’ailleurs ces chiffres dans des proportions proches, tant dans les pays où les chiffres sont connus que dans ceux, comme la France, où leur divulgation est interdite par les lois contre la discrimination raciale ou religieuse. Mais en France le phénomène est néanmoins suffisamment “reconnu” pour faire l’objet d’études particulières, ainsi celle de Jean jacques Rassial, qui bien que se défendant de vouloir impliquer dans sa réflexion une connexion entre le contexte “ethnique ou culturelle” et les “tournantes“, les décrit comme des rites de passage des jeunes hommes des banlieues parisiennes, que le film “la squale” projettera d’ailleurs en évoquant explicitement les tournantes dont sont victimes des adolescentes blanches de la part de jeunes maghrébins dans les cités.

Mais malgré leurs critiques vis à vis de Janet Albrechtsen, ni l’un, ni l’autre, ne contestera les résultats de leurs études montrant une massive et indiscutable “sur-représentation” des musulmans chez les auteurs de viols
collectifs, dont Rassial dira qu’ils constituent un “rite d’initiation” portant en lui même une démonstration accablante, à laquelle les affaires australiennes donnent simplement un caractère simplement plus explicite.

La vérité finit toujours par sortir

Les premières condamnations sont tombées pour les 5 frères pakistanais, et d’autres suivront, qui se cumuleront et dépasseront probablement plusieurs décennies d’emprisonnement. Mais surtout cette affaire a des airs de “retour de bâton” pour les élites australiennes, les associations musulmanes et antiracistes, ainsi que pour la presse de gauche et certains chroniqueurs conservateurs qui avaient préféré désavouer Janet Albrechtsen plutôt que de sortir de leur aveuglement.

La vérité finissant toujours par sortir, c’est au détour d’un nouveau et sordide fait divers que les media et les autorités avaient tenté d’étouffer et qui a fini par se révéler au grand public ces derniers jours, que les
australiens prennent conscience progressivement de la gravité et de la portée de ce qu’ils ne considéraient que comme des faits divers certessordides, mais relevant “banalement” d’affaires de moeurs, ce qu’ils ne sont clairement pas.

C’est bien une autre forme de “terrorisme” à laquelle l’Australie est confrontée.

Sources : The Australian, SMH, New York Post, ABC, Guardian, Fox

Source : national libertaire

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